OM - OGC NICE : PLUSIEURS DéCISIONS ARBITRALES LITIGIEUSES AUX GRANDES CONSéQUENCES

Match en retard de la 29e journée, ce rendez-vous entre Marseillais et Niçois a tenu bien des promesses. Dominés en début de match, les Olympiens ont su maîtriser le reste de la première période. Au total, quatre buts ont été inscrits, mais les deux camps resteront frustrés face à deux situations litigieuses ayant donné lieu à des décisions arbitrales discutables.

Un carton rouge loin d’être évident

Auteur d’un début de match volontaire à défaut de se montrer sur le plan offensif, Faris Moumbagna n’a pas pu disputer la seconde période. Le Camerounais, auteur d’une première faute lui ayant valu un carton jaune peu discutable, a ensuite été sanctionné une seconde fois. Voulant protéger sa prise de balle dos au but, l’attaquant marseillais a heurté la cheville de son vis-à-vis. Dans l’action, l’arbitre central de la rencontre n’a pas hésité à dégainer le carton rouge, alors même que la faute semblait plus légère que la première, bien qu’hésitante néanmoins.

Un pénalty en guise de compensation ?

En début de seconde période, alors que l’OM devait composer en infériorité numérique, les hommes de Jean-Louis Gasset ont bénéficié d’un pénalty semble-t-il quelque peu généreux. A l’origine du dégagement depuis son camp, Mohamed-Ali Cho a été coupable d’un coup, semelle vers le sol, sur son adversaire marseillais. Ici, la semelle a été sanctionné d’un pénalty doublé d’un carton jaune pour l’ancien Angevin, alors que le caractère intentionnel de ce coup semblait clairement proscrit.

Avec une décision litigieuse de chaque côté, les deux protagonistes du soir n’ont pas réussi à se départager. Résultat relativement peu avantageux pour les Aiglons comme pour les Phocéens, ce match permet au moins à toutes les formations du championnat de figurer à égalité de match joués, ouvrant la porte aux quatre derniers rendez-vous de la saison pour décrocher, fin mai, une place en Europe.

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